Lejour de l’inspection de la Communauté des brigades de gendarmerie est toujours un moment privilégié, qui permet de renouer les contacts avec l’ensemble des élus du territoire. Et c Affichage campagne d'information, du médecin du travail à l'agent de maîtrise en passant par les salariés, la sécurité est devenue à Mardyck " l'affaire de tous ". La direction a tout d'abord Mercredimatin, le dispositif de la participation citoyenne est devenu officiel aux yeux de tous, puisque le premier panneau a été Présidentdu conseil communal et intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance et de la radicalisation, Émile Mouheb, adjoint au maire de Cernay, défend une politique de Lasécurité infonuagique, c’est l’affaire de tous. par Carl Delisle . le 29 avril 2017. Les préoccupations concernant la sécurité assurée par les fournisseurs de service infonuagique sont devenues contre-productives. Elles détournent également l’attention des directeurs des services d’information et des directeurs de la sécurité informatique de Maissurtout elle doit être cohérente avec la vie de l’entreprise au quotidien : sa stratégie et ses moyens, le comportement des collaborateurs et des managers, etc. Il est d’ailleurs très important que la mise en place du Quart d’heure sécurité soit soutenue par la direction et suivie de tous. Le Quart d’heure sécurité à l . Invité de l’émission “Ça se passe” de l’ORTM, le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, le général de division Salif Traoré, a rappelé l’importance de la bonne collaboration entre les populations et les forces de l’ordre pour maintenir la sécurité et la quiétude. Comme lui, les deux autres invités de l’émission, Pr Mamadou Samaké et Dr Mariam Djibrilla Maïga, ont insisté sur la coopération civilo-militaire. Mieux impliquer la population dans sa propre sécurité. C’est la stratégie privilégiée par le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, général de division Salif Traoré. Samedi, au cours de l’enregistrement de l’émission “Ca se passe” de l’ORTM, il a invité les Maliens à plus d’implication et de collaboration avec les forces de l’ordre pour maintenir la sécurité dans les villes et les campagnes. Selon lui, depuis plusieurs années, son département œuvre pour une police de proximité efficace. En plus, le ministère a misé sur une bonne collaboration entre la population et les forces de l’ordre avec l’instauration d’un dialogue intra-communautaire et intercommunautaire, l’instauration des journées nationales de fête chez les forces de l’ordre pour faciliter le rapprochement avec la population, etc. “Nous devons savoir que les policiers, gendarmes, gardes ou pompiers sont de nos familles. Ils ne viennent pas d’un autre pays. Ce sont des Maliens qui savent que leur bonheur passe par celui de tous les Maliens. Nous sommes conscients des défis et des difficultés, mais nous devons travailler ensemble pour que nos forces soient efficaces”, a-t-il lancé, insistant sur l’importance de l’information. “Nous devons tous jouer notre rôle d’informateur et de vigile. Nous avons des numéros vert gratuit que tout le monde peut utiliser”, précise-t-il. Dans le cadre du plan de sécurisation intégré, rappelle le général, il y a quatre piliers sécurité, développement, gouvernance et communication. “ Dans le cadre du dialogue, pour la défense et la sécurité il nous a été demandé, à certains endroits précis, d’ouvrir des postes de sécurité et dorganiser des patrouilles dans ses endroits pour rassurer la population. C’est ainsi que des postes ont été créés dans la région de Mopti et à Ségou. Beaucoup de choses sont faites, même si nous continuerons à réfléchir. Car, il y a encore des actes d’insécurité qui cachent tous ces efforts consentis”. [A lire] LE GENERAL DE DIVISION SALIF TRAORE, MINISTRE DE LA SECURITE ET DE LA PROTECTION CIVILE Nos seuls objectifs trouver des ressources et des stratégies » Après avoir reconnu les efforts des autorités dans le cadre de la sécurisation, Pr Mamadou Samaké et Dr Mariam D. Maïga, ont demandé à la société civile de pleinement jouer son rôle de veille et d’informateur. “Il y a vraiment le besoin d’une prise de conscience au niveau national pour que tout le monde sache que nous n’avons que ce pays. Nous devons tous accompagner les forces de l’ordre et que ceux-ci aussi travaillent en respectant bien la déontologie”, a souhaité Pr Samaké. “Il faut aussi impliquer tous les leaders, les chauffeurs de taxi, etc, dans le processus d’information de la police”, propose Dr Maïga. L’émission “Ca se passe” est organisée par l’ORTM chaque mois pour informer les Maliens de l’actualité et des réalités du pays. Elle est animée par Mark Coulibaly. 20 octobre 2019 Body Afin de développer en interne une culture de la santé et de la sécurité, le groupe coopératif Axéréal implique aujourd’hui l’ensemble de ses équipes dans une ambitieuse stratégie de prévention des accidents professionnels. Des silos de grains aux moulins, des usines de production d’aliments pour animaux aux malteries, c’est l’ensemble des entités d’Axéréal qui font aujourd’hui de la protection des salariés et des parties prenantes adhérents, clients… une priorité. Assurer la sécurité des femmes et des hommes qui travaillent au sein d’Axéréal est un prérequis pour l’ensemble de nos activités, affirme Romain Gallas, administrateur Axéréal. C’est pour cela que nous cherchons être proactifs sur le sujet ». Pour porter une telle ambition, une politique sécurité notamment a été mise en place il y a trois ans. Impulsée par la Direction, elle a permis de placer le sujet au rang des priorités stratégiques d’Axéréal. Un vrai élan a été donné », confirme Sébastien Richomme, responsable sécurité du pôle Agriculture & Filières. La sécurité est réellement l’affaire de tous, et l’élan porté se retrouve donc à tous les niveaux du groupe coopératif. Des points sur la sécurité sont par exemple régulièrement réalisés lors des comités de direction. Un comité sécurité réunit par d’ailleurs une fois par mois les directeurs de chaque Business Unit BU du pôle Agriculture & Filières chaîne du grain, meunerie, élevage. Cela permet des échanges constructifs sur les difficultés rencontrées, les démarches de progrès à mener… », poursuit Sébastien Richomme. Un partage des bonnes pratiques peut également être réalisé. Une dynamique proactive que l’on retrouve également chez Boortmalt, activité malt du groupe Axéréal. Chaque accident est évitable » La question de la sécurité est abordée au quotidien sur le terrain, grâce à un important travail de communication. Des animateurs sécurité terrain sont là pour aider les managers de proximité à avancer sur le sujet. Nous devons convaincre 100 % de nos collaborateurs que la sécurité est un prérequis à toute action. Il faut qu’ils aient conscience de l’importance de cette question et aient envie de se protéger », explique Sébastien Richomme. Pour accompagner la démarche, différentes initiatives ont été prises. C’est le cas par exemple de rituels comme les 5 minutes sécurité ». Plusieurs fois par semaine, les responsables locaux présentent le travail du jour à leurs équipes, les risques qui y sont liés et les moyens de s’en prémunir. Formations et sensibilisations sont par ailleurs régulièrement proposées pour permettre aux collaborateurs de développer les réflexes nécessaires à leur protection et celles des parties prenantes mesures de protection, signalement de toute situation à risque…. Des Rencontres sécurité terrain ont également été instituées pour améliorer les comportements du quotidien voir ci-dessous. La politique sécurité du groupe s’appuie sur un principe fondamental chaque accident est évitable. Pour preuve, l’expérience rappelle que la majorité de ces accidents sont imputables à l’organisation au comportement des personnes en présence. La communication portée par Axéréal met notamment l’accent sur les bonnes pratiques à adopter face à cinq risques majeurs les chutes de hauteur, les interventions en cellules, l’utilisation des engins de manutention chariots élévateurs…, les risques routiers et la question des troubles musculosquelettiques lombalgie, entorse…. En s’appuyant sur une sensibilisation au long cours des équipes mais aussi sur une analyse rigoureuse des incidents survenus, le groupe poursuit ainsi un objectif ambitieux le zéro accident. Des Rencontres sécurité terrain pour développer les bonnes pratiques De la farine au sol qui risque de faire glisser un collaborateur, un sac mal porté qui peut fragiliser le dos d’un salarié… Dans leur quotidien professionnel, les collaborateurs ne perçoivent pas toujours les risques induits par certaines situations. Tout l’objectif des Rencontres sécurité terrain est là détecter les comportements à risque, et réduire ainsi les accidents, en apportant un œil neuf sur des situations de travail. L’œil neuf, c’est celui porté par deux membres de l’encadrement qui vont étudier avec attention le travail d’un salarié, dans un esprit collaboratif et bienveillant. Après une dizaine de minutes d’observation, un dialogue constructif va se nouer sur le mode opératoire du collaborateur, afin de déterminer d’éventuelles pistes d’amélioration. Le port des EPI Equipements de protection individuelle a-t-il été respecté ? L’échelle utilisée était-elle la plus adaptée ? La zone de travail a-t-elle été nettoyée au bon moment ? Autant de points d’attention qui pourront être évoqués afin de faire progresser la sécurité sur le site et servir au plus grand nombre. Après avoir été lancées dans la branche Agriculture d’Axéréal, ces Rencontres ont été déployées au sein d’Axiane Meunerie en 2021. 200 collaborateurs de terrain bénéficient désormais deux fois par an d’une telle initiative, explique Laurent Gandouin, directeur industriel & supply chain chez Axiane Meunerie. 80 % de nos accidents sont liés à des chutes de plain-pied ou des ports de charge. Des bonnes pratiques peuvent permettre de les éviter. Nous disposons avec ces rencontres d’un bon moyen pour agir en ce sens ». Chaque rencontre permet aux collaborateurs de prendre quelques engagements simples pour faire progresser leur propre sécurité. La question des accidents est le plus souvent liée à une prise de conscience des risques », rappelle Laurent Gandouin. Dans le même temps, le manager peut relever quelques aménagements de postes à réaliser pour prévenir certains accidents, comme par exemple l’installation d’aspirateurs à chaque étage d’un bâtiment ou la mise en place de rangements dédiés aux outils du collaborateur ». Boortmalt une malterie construite sans aucun accident en Ethiopie Des réflexes de sécurité doivent être développés dans les actions du quotidien des collaborateurs du groupe. Mais il est également essentiel qu’ils soient adoptés dans le cadre de chantiers d’exception portés par la coopérative. C’est ce à quoi s’est attaché Boortmalt, le pôle malt international d’Axéréal, lors de la construction de sa première malterie africaine, en Ethiopie, entre 2018 et 2021. Située dans le parc industriel de Debre Birhan, cette unité de production a été édifiée en faisant de la sécurité et de la santé des travailleurs présents une priorité centrale. Pour porter cette ambition, nous nous sommes assurés d’avoir un responsable de la sécurité présent sur le chantier dès le premier jour de construction, et nous l’avons intégré durant toute la phase opérationnelle, explique Mauricio Corsi, Responsable sécurité, santé et environnement chez Boortmalt, filiale malt du groupe Axéréal, ce responsable sur place a accompagné la création de se site, en insufflant la culture de la sécurité Boortmalt ». De même, un suivi scrupuleux des mesures de santé et de sécurité en vigueur au sein du groupe, valant à l’échelle internationale, a été instauré. Elles ont été respectées en prenant soin, dans le même temps, de tenir compte des enjeux locaux. L’ensemble des mesures prises nous a permis de construire cette usine sans qu’aucun accident ne soit à déplorer », se satisfait Mauricio Corsi. Désormais opérationnelle, la malterie éthiopienne offre une capacité de tonnes, approvisionnée par des agriculteurs locaux. Tribune – – juin 2021 Depuis 2002, la politique de Nicolas Sarkozy a transformé les missions et moyens de la police pour assurer la sécurité de tous fermeture des commissariats de proximité, dont celui de l’Ile de Thau, multiplication de la vidéosurveillance sans efficacité prouvée, centralisation des appels du 17 en déconnexion avec le terrain. Tout cela participe à détruire les liens entre habitants et police, dont les conditions de travail sont dégradées. Il est urgent aujourd’hui de retisser les relations entre la population et les forces de sécurité de l’État, les polices municipales et les services de secours, pour un travail en synergie. Travailler avec les associations qui arpentent le terrain à la rencontre des jeunes. Mobiliser des médiateurs et des agents de police municipale, dont le travail serait ancré dans la prévention et non la répression. Augmenter le nombre de policiers nationaux pour une présence en ville à la rencontre des habitants afin de repérer au plus vite les problèmes et dépêcher immédiatement des intervenants. Le maire doit relayer notre demande d’une police de sécurité du quotidien ! Surtout, nous devons passer d’une vision coercitive de la résolution des difficultés sociales et inégalités, à une vision centrée sur l’éducation, le travail social, l’emploi, l’accès aux droits, aux soins, à la culture et à un logement digne. Nous savons que ces besoins essentiels ne sont pas remplis, et cela favorise des terreaux violents et des difficultés entre citoyens et police. Voilà un domaine que toutes les composantes de la société prennent à bras-le-corps aujourd’hui en Guadeloupe c’est pourquoi je suis là » m’expliquait à l’entrée du Mémorial’Act ce lundi 28 mars à 15 heures Roland A., chef d’entreprise, venu aux Assises de la Sécurité Routière. J’ai des salariés et je me dois de les protéger des risques encourus ».Les chiffres en effet sont alarmants En 2021 dans notre Guadeloupe 461 accidents de la victimes de la route65 tués sur nos routes dont 14 piétons, 20 motards, 5 cyclistes, 26 chiffres à eux seuls parlent. La courbe est ascendante depuis quelques années c’est pourquoi ces assises ont été mises en place pour qu’une prise de conscience se fasse authentiquement à la fois collectivement et individuellement. Après les associations, les collectivités, toutes les instances éducatives, scolaires, citoyennes, politiques, sanitaires, professionnelles et religieuses étaient invitées à donner leur avis et proposer des solutions pour endiguer ce fléau. Les statistiques et les chiffres font froid dans le dos » déclarent les services préfectoraux. Il nous faut regarder les choses en face, et faire un travail de conscientisation, prévention et de formation » appuie Arlette Oxybel qui promeut à tous les niveaux l’ après-midi les entrepreneurs sont venus apporter leur expertise, conscients qu’ils sont que leurs collaborateurs et salariés sont souvent sur les routes. Nous avons 2480 kms de routes en Gwadloup, et nous avons eu 65 morts l’an dernier 1 mort tous les 38 kms ! Comment pouvons-nous dormir tranquilles ! » Le triptyque comportement, addiction, vitesse est le plus dangereux. C’est sur lui qu’il faut agir. Tous les établissements scolaires d’enseignement en sont bien conscients. Le LEP de Blanchet par exemple est à la proue du navire de cette éducation/prévention chaque année des forums sont créés pour permettre aux jeunes de prendre conscience des dangers et de se responsabiliser les élèves ont la possibilité de faire l’apprentissage sur des simulateurs. L’Enseignement Catholique et les instances de l’Eglise veulent apporter leur pierre à l’ Dieu et aimer l’Eglise, c’est aussi vouloir préserver la famille, faire progresser la société dans le sens du bien commun et apporter la sécurité et le bonheur autour de nous. Montre-moi comment tu conduis, je te dirai qui tu es ?» disait le père Guy Gaucher, quand il était professeur de spiritualité au grand séminaire d’Orléans avant d’être nommé évêque de Lisieux comment tu te conduis dans la vie et comment tu conduis sur la route. Il faut être concret. L’éducation spirituelle c’est aussi l’ancrage dans la vie concrète. Ce pragmatisme du comportement élève l’âme ». N’hésitons pas dans toutes nos réunions de groupes, de formation, de mouvements, d’aumônerie, de catéchèse… de parler de la Sécurité Routière ! Quel engagement de jeune chrétien prenez-vous aujourd’hui à la suite du sacrement de Confirmation que vous recevez ? » avait demandé Mgr Cabo aux jeunes confirmands de l’aumônerie Dom Helder Camara en 2007 à St Jean Bosco. L’un deux avait répondu je m’engage à rendre ma Guadeloupe plus belle en faisant un effort de comportement écologique participer régulièrement aux nettoyages des plages de ma commune ! » Et un autre je m’engage à ne plus boire aucun alcool avant de prendre ma moto, et je m’engage à faire en sorte que la sécurité routière progresse chez nous en respectant les panneaux de circulation et les limitations de vitesse ! » Mgr Cabo les avait félicités chaleureusement et cités en exemples continuez de vivre en chrétiens surtout, et revenez me voir régulièrement pour me dire où vous en êtes de votre engagement et de votre responsabilité, je serai heureux d’échanger avec vous ! »Jean-Marie Gauthier Ah qu’il est bon de recevoir des nouvelles de ceux qu’on aime ! Surtout quand était sans nouvelle d’un être particulièrement cher depuis longtemps… Et depuis hier ouf » c’est bon ça va j’ai des nouvelles d’Alexandre Bénalla ! Alors non Bénalla et moi on n’est pas proches mais sans le savoir il m’a apporté tellement de matière pour écrire mes chroniques que pour moi c’est devenu un proche ! Alors qu’est ce qu’il devient ce cher Alex ? Et bien figurez vous que c’est Marcel Campion, le gentil forain mafieux homophobe qui lui a trouvé du boulot ! Bénalla va devenir consultant sécurité pour la foire du Trône ! Ah ben merde alors… J’en ai entendu des intitulés d’emploi fictif mais des comme ça c’est balaise non ? J’imagine les réunions avec Alexandre le consultant sécurité.. Bon les gars qui dit foire dit foule, qui dit foule dit agitation, qui dit agitation dit danger, qui dit danger dit mobilisation, qui dit mobilisation dit vigilance, qui dit vigilance dit matraque ! Règle n°1 Si vous voyez un rassemblement de plus de 5 personnes vous dispersez, si y a résistance vous matraquez Règle n°2 Si vous repérez des agitateurs, réaction immédiate vous prenez à la gorge et vous exfiltrez une fois le ou les individus exfiltré vous revenez à la règle n°1 vous matraquez ! Règle n°3 Vous apprenez les règles n°1 et n°2 par cœur ! En cas de problème - du style décès d’un individu matraqué - suite à l’application de la règle n°1 vous venez me voir immédiatement là je vous remettrais un passeport dit diplomatique » et vous pratiquez sur vous-même la règle n°2 l’exfiltration » Bon ben voilà on le sait, on ne sera pas du tout en sécurité à la foire du trône ! A tout moment on pourra se faire taper sur la gueule ! Autre sujet tout aussi grave ! Vous vous en souvenez surement en début d’année deux accidents d’avion avaient secoué l’univers des transports aériens. Deux accidents dans lesquels étaient impliqués des Boeing 737 Max ! Interdiction de voler pour ces appareils depuis mi-mars, gros manque à gagner pour les compagnies et le constructeur, du coup le constructeur a multiplié les enquêtes et hier tin nin » l’annonce de Boeing On a trouvé le problème de nos 737 y a un problème sur les ailes » Allo ? Un problème sur les ailes ! Tu construits des avions, tu vérifies pas hyper bien les ailes et tu te dis c’est ok ils peuvent voler » et faut deux accidents pour que tu vérifies que les ailes de ton avion sont OK ! La suite à écouter et à retrouver en vidéo !

la sécurité est l affaire de tous