Toutesles informations sur Edward aux mains d'argent, film réalisé par Tim Burton avec Johnny Depp et Winona Ryder sorti en 1991. Synopsis : Edward n'est pas un garçon ordinaire. Création d
Unfilm de Tim Burton avec Johnny Depp et Winona Ryder. Synopsis : Edward n'est pas un garcon ordinaire. Création d'un inventeur, il a reçu un coeur pour aimer, un cerveau pour comprendre. Mais son concepteur est mort avant d'avoir pu terminer son oeuvre et Edward se retrouve avec des lames de métal Un film de Tim Burton avec Johnny Depp et Winona
Edwardaux mains d’argent : l’innocence. Sans doute l’une des oeuvres les plus iconiques et réussies du réalisateur. Un conte fantastique sorti en salles en 1991, avec son univers gothique
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Edwardéveille la curiosité des voisins et surtout des « amies » de Peg. Ses mains-ciseaux sculptent arbres, poils des chiens et cheveux de ces dames ! Il passe même à la télé. Jim, le brutal petit ami de Kim, l’utilise pour un cambriolage où il est pris. Alors tous le rejettent, sauf la famille de Peg et surtout Kim. La haine de la
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. Entre 1990 et 1994, Tim Burton réalise ce qui reste à ce jour ses films les plus importants, les plus personnels Edward aux mains d’argent, Batman le défi et Ed Wood. Si le second resplendit des funèbres et baroques lueurs d’un Gotham plus habité par son réalisateur en roue libre que par son super-héros titre absent – à tel point que cet excès lui aliénera certains spectateurs –, Edward et Ed Wood se posent en double portrait du réalisateur. Edward, particulièrement, reste un miracle d’équilibre gracile, de finesse narrative alliés à l’imagination débordante de Burton, qu’il est parvenu cette fois à contenir, pour le meilleur. Si Edward est une date pour son réalisateur, c’est également l’une des plus belles compositions de son musicien attitré de l’époque, Danny Elfman, mais aussi et surtout la seule apparition à l’écran de l’acteur qui a fait de Burton ce qu’il est aujourd’hui Vincent Price. Un film loin d’être parfait, mais qui brandit haut et fier ses fragilités, avec une humilité touchante qui échappa à Burton par la vit dans son monde à elle, un monde de petits bibelots de verre. – Tom, à propos de sa sœur, in La Ménagerie de verre, Tennessee WilliamsLorsqu’il évoque sa découverte du cinéma et de sa vocation de cinéaste, Tim Burton rappelle ses séances de films d’épouvante bon marché, de séries B issues des productions de la Hammer ou de Roger Corman, qui ont donné corps à son imaginaire si personnel. Mais de son propre aveu, c’est l’acteur Vincent Price qui lui donnera l’envie de devenir cinéaste. En 1982, dans son court métrage Vincent, Burton met en scène un petit garçon au visage triangulaire, aux cheveux noirs hirsutes et fou, porté sur l’introspection, Edgar Poe et le règne de l’imagination – et qui a pour principale fantaisie de se prendre pour Vincent Price. Au terme des cinq minutes du court métrage, Vincent s’effondre, comme le narrateur du Corbeau de Poe, et le doute n’est guère permis sur le fait que le jeune garçon meure. Difficilement défendu à l’époque face à ses producteurs de chez Disney, Vincent possède la forme que désirait lui donner Burton, et le poème qui l’accompagne est lu par Vincent Price lui-même. Le jeu de miroirs entre acteur et spectateur, auteur et personnage, qui est rappelé et développé dans Edward est déjà présent, d’autant plus fortement que le mentor imaginaire Vincent Price celui rêvé par le Burton adolescent comme par le jeune Vincent est ici jeu de rôles fantasmés devenant réel s’épanouit réellement dans Edward aux mains d’argent. Edward est interprété par Johnny Depp, manifestement acteur fétiche de Burton depuis Edward, jusqu’à Ed Wood, Sweeney Todd, Les Noces funèbres, Sleepy Hollow ou encore Charlie et la chocolaterie. Dans chacun de ses rôles, Depp voit sa ressemblance naturelle avec Burton accentuée, et Willy Wonka, Ichabod Crane ou Edward semblent autant de manifestations précises de la façon dont se considère le réalisateur. Edward est créé ex nihilo par son père », inventeur de génie dont on n’entendra pratiquement jamais la voix, et interprété par Vincent Price. Et s’il est créé par Price, il n’est pas fini », ne pouvant pas toucher le monde autrement qu’au moyen de mains dont les doigts sont autant de ciseaux. La métaphore de Burton est ici transparente tourmenté par un monde intérieur qu’il expose réellement pour la première fois au monde, Burton-Edward ne sait pas vraiment comment tendre la main à ses contemporains sans les effrayer, sans les blesser pour autant. L’inventeur, quant à lui, meurt avant d’avoir pu parfaire son invention. On imagine sans peine combien la coïncidence a dû toucher Tim Burton, lorsque Vincent Price s’éteint alors qu’Edward est en post-production Burton a filmé son acteur-mentor dans une scène où il meurt, peu avant la mort réelle de celui-ci, et sans que celui-ci ait jamais pu voir la scène. Il importe d’ailleurs de rapprocher cette anecdote de celle liant Ed Wood à Bela Lugosi, et à l’utilisation qu’en fait Burton dans Ed l’homme aux rôles de savants fous les plus outrés – il n’y a qu’à revoir les remarquables L’Homme au masque de cire, L’Abominable Dr Phibes ou Théâtre de sang pour s’en convaincre – poursuit ici son rôle de scientifique hors du monde, refusant la norme et ses contingences – mais probablement pour la seule fois dans sa carrière, son personnage est un savant certes fou, mais délicat, rêveur et apaisé. Peut-on extrapoler, et considérer qu’il en va de la relation entre Burton et Price comme entre Wood et Lugosi? Dans Ed Wood, le réalisateur incarné par Johnny Depp ne cesse jamais de vouloir amener à l’écran un Bela Lugosi vieillissant et accro à la drogue dure. La dernière apparition de Lugosi sera insérée dans le prologue de Plan 9 from Outer Space, mais Ed Wood montre le réalisateur tentant de diriger son acteur dans un énième rôle de savant fou grandiloquent. Épuisé, et au bord de la mort, Lugosi lui suggère plutôt une composition plus calme et mélancolique. Si la même sollicitude est certainement présente dans la façon dont Burton a dirigé Vincent Price dans Edward aux mains d’argent, c’est aussi et surtout parce que le réalisateur a sorti le personnage de l’inventeur de son univers propre, un univers dont Edward est probablement l’expression la plus intègre à l’ encore que dans son baroque Beetlejuice, Burton identifie clairement l’ennemi dans Edward c’est la norme. Non que le propos soit profondément sociologique – même si les angoisses de Burton dans ce film valent bien celles de David Lynch dans Blue Velvet – mais Burton semble avoir horreur de tout ce qui touche au nivellement de l’originalité. Dans Edward, la norme s’exprime avant dans le portrait d’une bourgeoisie de banlieue très typiques d’années 1950 issues d’une American way of life fantasmée maisons clonées, rangées, aux couleurs pastels pour ne pas choquer l’œil, entourées de jardins que l’on tond tous les jours et de voitures rutilantes briquées; voitures qui partent au travail dans un même mouvement, à la même heure; trottoirs et chemins que l’on emprunte qu’à angles droits; personnages correspondant précisément à un archétype, sans nuance… Évidemment, Burton force le trait, à dessein. Il met en scène sa banlieue avec un burlesque froid, glaçant, en confrontant son héros faussement naïf aux absurdités matérialistes d’une norme qui lui fait peur. Car Burton, manifestement, ne juge pas, ni ne dénigre, ceux qu’il désigne comme ses cibles il en a bel et bien peur. La conception de la vie qui place l’achat d’un 4×4, le fait de dormir sur un waterbed, le barbecue et les ragots comme seules interactions sociales, au cœur d’un idéal de vie, terrifie un Burton qui, à l’image des étranges anti-héros qui peuplent son recueil de poèmes La Triste Fin du petit enfant huître, semble devoir se faner au simple contact de ce monde bien rangé.On ne peut pas gagner sa vie avec des cookies», lance, péremptoire, le père de Kim, dont la famille accueille Edward, lorsqu’il apprend que celui-ci ne se fait pas payer pour ses divers travaux. Et Burton de répondre, insolemment si, on peut. Et les cookies sont certainement plus que ce que croient les gens normaux». Burton veille à casser les codes de la norme visuelle ses premiers plans, dans le château de l’inventeur, rappellent intensément l’esthétique de l’expressionnisme allemand, son titre même est écrit en lettres outrées, penchées, le nom de Johnny Depp dans le générique est associé à une sculpture torturée. Cette outrance vient avant tout de la fidélité de Burton à un autre genre narratif le conte de fée – école Grimm ou Oscar Wilde, c’est au choix. Un monde des contes où la beauté gracile du merveilleux côtoie le sombre, le caché, l’inquiétant. Et tel l’un de ces récits, Edward aux mains d’argent n’hésite aucunement à user de ses artifices narratifs pour susciter l’émerveillement. Ainsi, un spectateur pointilleux ne saurait être dupe des effets de mise en scène qui entourent Edward en pleine création, tant ils semblent aujourd’hui à la fois visibles et naïfs. Burton, ainsi, filme Edward à l’ouvrage selon une structure en trois plans vue d’ensemble, avec Edward qui s’intéresse à un buisson, commençant à le tailler; vue subjective » du buisson en question avec force projections de branches et feuilles coupées; puis Edward, de nouveau en plan large, près d’une merveilleuse création. Le procédé est aisé, mais peu importe à Burton l’essentiel dans son conte est que l’outrance visuelle du merveilleux perdure. Et qui se permettra de remettre en cause la manche à air projetant les flocons de glace lorsqu’il s’agira de se laisser emporter par l’émerveillement de la danse de Kim sous la neige?De la même façon, l’apparence outrée d’Edward – il est ceint dans une combinaison de cuir noir aux boucles d’argent, avec un visage à la pâleur mortelle, entouré de cheveux longs et hirsutes – répond avant tout à l’oppressante normalité de son entourage on note d’ailleurs la récurrence des Je connais un médecin qui pourrait vous aider» sur le chemin d’Edward, qui le pose définitivement comme un a-normal. L’oppression est d’autant plus présente que Burton filme en filigrane une menace sourde et qui ne dit pas son nom. Ainsi, bien vite, l’apparente harmonie de façade qui est celle de la banlieue où se situe l’action se fissure tandis qu’Edward passe du statut de curiosité – et donc reste passif – à celui d’individu. Dès que celui qui est vu comme un amusant jouet par ses contemporains se pique de faire entendre sa voix, ses rêves, ses désirs, une chasse aux sorcières fanatique et mensongère prend forme à son encontre. Burton filme cette dégénérescence comme une évolution normale, atavique, du groupe social qu’il dépeint, et ce faisant, il situe Edward aux mains d’argent dans la grande tradition fantastique. Depuis Le Garçon aux cheveux verts jusqu’à Frankenstein, le cinéma fantastique, par essence, ne s’est véritablement articulé qu’autour d’une seule thématique le rapport à l’autre dans son en cela que le fantastique est un genre essentiellement subversif, puisque le miroir déformant qu’il tend à son spectateur est avant tout présent pour rappeler la multiplicité des formes morales et/ou physiques de l’être humain. Et de ce fait, le véritable antagoniste dans le genre fantastique est totalement assimilable à l’intolérance, et à ceux qui la brandissent en étendard. Une fois cet axiome de genre posé, tout le reste n’est que colifichets. Pour Burton, Edward est un être à l’état de nature, tel que l’entendait Rousseau; mais contrairement à l’écrivain, Burton souligne l’importance de s’être abstrait de toute forme d’influence de civilisation pour naître réellement à cet état de nature. Edward n’est pas humain lorsque son père » veut lui apporter sa touche finale, ses mains, elles, se révèlent être des morceaux artificiels. Après tout, tel que le montre une de ses réminiscence, Edward a commencé en tant que robot métallique, auquel son inventeur a voulu greffer un cœur il importe d’ailleurs de noter que cette réminiscence ne peut être vécue que parce qu’Edward était déjà présent à ce moment. Le robot rudimentaire, préposé au découpage de la salade sur une chaîne d’usine, serait donc déjà conscient de son existence, et la structure sur laquelle Edward sera modelé.Cet état de nature s’abstrait également, chez Burton, de la pudibonderie morale de façade de la culture chrétienne que l’on devine structurer la vie de la paisible banlieue où se déroule l’action ainsi, Edward commettra un meurtre, qui ne le dépréciera en rien aux yeux de Kim, ni de Burton, ni finalement du spectateur. Burton construit Edward comme une figure de l’innocence pure, avec ce qu’elle peut signifier de sinistre, de sombre et de violent – mais ce qui importe ici est l’intégrité de son personnage. Edward est un innocent réel, sur lequel glissent finalement toutes les tentatives de le civiliser – parce que la civilisation est un compromis. À la fin du conte, le temps emporte tout et tous, ennemis comme aimés d’Edward, excepté Edward lui-même. L’innocent reste, prisonnier volontaire de son château-paradigme, du haut duquel il peut observer le monde humain grâce à un énorme trou dans le toit, dont on ne saura jamais comment ce trou s’est créé, ni même si Edward lui-même s’est créé ce point de vue. Edward est une figure divinisée, inaccessible, intervenant sur le monde des hommes et sur le cœur de certains d’entre eux, mais dont l’innocente sagesse sait qu’il ne pourra interagir avec eux que par l’entremise de l’ Edward, tel l’artiste, de recréer à la fois dans une glace-miroir et dans les branches des arbres, matières éphémères et soumises aux hasards climatiques, les silhouettes imaginées des compagnons parfaits que seuls il peut supporter. Burton, avec Edward aux mains d’argent, livre finalement un constat intense et pessimiste de la création artistique l’art comme l’artiste sont un monde intérieur, qui se doit d’être au delà de la morale et de la norme. Ce devoir d’intégrité place perpétuellement le monde hors de sa portée, comme il est lui-même hors de portée du monde. Stylistiquement et thématiquement, Tim Burton n’est jamais aussi fidèle à ce devoir que dans Edward et dans Batman le défi, l’un constituant l’expression profonde de son innocence teintée de douce folie, l’autre de sa folie pleine d’une perverse innocence. Et s’il a manifestement tenté de renouer avec ce dernier aspect de son moi artistique dans Charlie et la chocolaterie, on ne peut que regretter que Burton se soit, au fil du temps, attaché à une création moins pure, moins fragile, moins risquée et certainement plus profitable que celle d’Edward aux mains d’argent.
Crédit YouTube. Dans un contexte quelque peu curieux, on apprend d’où Johnny Depp a puisé son inspiration pour dépeindre son personnage dans le film Edward aux mains d’argent. Une association d’idées qui tiendrait presque du Kamoulox. Sans intention aucune d’emprunter le sentier d’où s’évaporent des blagues de mauvais goût, il est cependant tentant d’affirmer que dans Edward aux mains d’argent de Tim Burton, Johnny Deep avait crevé l’écran. Le réalisateur avait donné ici naissance à son quatrième long-métrage, seulement un an après avoir délivré sa vision sur grand écran de Batman. Crédit YouTube. Quant à Johnny Depp, qui restait jusqu’ici dans les esprits comme le beau gosse de la série 21 Jump Street, il avait trouvé là le tremplin de sa carrière, et ouvert la page d’une longue collaboration avec Tim Burton. Johnny Depp dévoile également les dessous de son personnage de Jack Sparrow À Fairfax, dans l’État américain de Washington, se tient actuellement le procès opposant Johnny Depp à son ex-compagne Amber Heard, tous deux s’accusant mutuellement de diffamation. Et c’est apparemment dans ce contexte des plus tendus que l’acteur s’est exprimé sur un sujet sur lequel on ne le voyait pas être aussi loquace son travail. C’est le journaliste de Court TV Ted Rowlands qui a rapporté des propos tenus par Johnny Depp sur plusieurs personnages iconiques que celui-ci a incarnés au cinéma. Le premier d’entre eux étant le fameux Edward aux mains d’argent mentionné plus haut. Pour l’inspiration de ce personnage aux talents de coiffeur n’étant plus à démontrer, Johnny Deep a ainsi déclaré s’être appuyé sur un bébé et l’un de ses chiens. Une révélation incitant à revisionner le film les sourcils froncés en se disant “nan mais le bébé je vois, mais le chien ?” Autre association donnée par l’acteur, et qui sera possiblement mieux comprise, celle ayant donné naissance au Jack Sparrow campé dans la saga Pirates des Caraïbes. Johnny Depp dit ainsi s’être inspiré de Keith Richards des Rolling Stones et de Bugs Bunny. Pour le lapin animé, il semble que les scénaristes avaient déjà pensé à lui emprunter sa personnalité pour concevoir le fameux boucanier. Johnny Depp aurait alors suivi cette direction en y insufflant une autre référence. Source compte Twitter de Ted Rowlands via Screen Rant
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Présentation Edward est un être créé de toutes pièces par un savant un peu fou. Le malheureux génie des rouages et des boulons a passé l'arme à gauche avant d'avoir eu le temps de parachever son œuvre. Du coup, Edward n'est pas terminé, et se voit doté de ciseaux et de lames diverses et variées à la place des doigts. Il vit reclus dans une maison délabrée, à l'abris des regards de voisins qui ignorent tout de son existence. Un beau jour, une représentante en cosmétiques le dénichera et l'adoptera. Bon gars, toujours bien apprêté et fort poli, notre Edward n'en est pas moins maladroit avec ses pinceaux métalliques, et subira les affres de la curiosité, de la nymphomanie, de la jalousie, et de l'amour bien tranchant...[note3,,right]Image Blu-ray Aux détracteurs qui affirment que nous distribuons du 5 étoiles à tout ce qui bouge, nous répondons qu'il est vrai de voir les films récents édités en Blu-ray récolter une belle moisson de compliments étoilés, mais heureusement, pour faire baisser la moyenne, il y a les rééditions, qui représentent plus de 65 % de nos tests ! Et qui dit réédition, dit lancés de fleurs ou d'épines. Nous n'avons pas pu résister au désir de passer sur le gril la version HD du génial Edward aux mains d'argent. Plusieurs choses à savoir cependant Il ne s'agit ni d'un remastering ni d'une restauration, mais bel et bien du master HD utilisé sur le DVD par exemple, ou en diffusion TV en HD. La compression de l'image est en MPEG-2 HD et non en MPEG-4 AVC ou VC1. Alors, à l'écran, cela donne quoi ? Bah, des premières images catastrophiques la vieille dame qui raconte l'histoire à une enfant. La suite ? Le master s'avère lumineux et coloré, mais la pellicule, quoique propre pas de poinçon est instable fenêtre du télécinéma qui vibre, et un brin granuleuse parfois. Certes, certains gros plans de visages sont fabuleux, détaillant les raccords maquillage de Johnny Depp ou le maquillage à la truelle des actrices, mais on sent vite que le télécinéma n'a pas été travaillé comme il l'est actuellement lors des remasterings récents. Nous n'avons pas noté de problèmes liés à la compression MPEG-2 HD, qui s'en sort pas façon plus générale, nous ne sommes pas 100 % déçus, d'autant que les scènes sombres ou étalonnées dans les gris sont splendides dans l'usine, avec Edward et son créateur, mais ce master HD semble daté », car dépassé techniquement. Pour l'heure, seule cette édition HD est disponible, donc, pas le choix. En attendant un remastering plus frais...si il est orchestré un jour ![note3,,right]Son Blu-ray Quelle drôle d'affaire ! A ma droite, du en DTS à mi débit la VF. A ma gauche, la VO en DTS-HD Master Audio en Cela tient du choix éditorial car il existe une VO en qui accompagnait la pellicule dans son exploitation en 70 mm. Au final, vous pouvez déjà oublier la VF, qui offre des voix étriquées, façon prise de son avec un mouchoir devant le micro », et vous diriger vers la VO en qui sonne plutôt bien. La musique est ici retranscrite avec une belle fidélité audio. Tant mieux, car, selon nous, il s'agit d'une des plus belles partitions de Danny Elfman et cela nous aurait fichu en rogne qu'elle soit massacrée. Le Surround mono est d'ailleurs principalement habité par cette musique envoûtante. Nous saluons la présence formidable des dialogues en VO ainsi que quelques petits excès de dynamique, tout guillerets. Au fil de l'écoute, nous avons trouvé cette piste assez naturelle et musicale. La note de 3 est attribuée à la seule VO.[note2,,right]Qualité visuelle et technique de l'interface d'accueil Blu-ray Il n'y a pas vraiment de menu d'accueil, mais un menu pop up » en surimpression qui utilise ses icônes pour s'exprimer voir image ci-dessous.Un menu qui tape l'inscruste sur l'image du film menu Pop-up [note2,,right]Bonus Blu-ray Rien de nouveau comparé au DVD, soit deux commentaires audio Burton, et Danny Elfman qui commente sa partition, ainsi qu'un mini Making of » vraiment d'époque de 4 mn déjà vu 34567890 fois. Le service minimum des jours de grève à Hollywood... En 4 mn 30 s chrono, le making of propose des interviews, des dessins préparatoires...le tout, au pas de course !Particularités Blu-ray Zone B, sous titres fr, angl, all. Points forts Une piste audio VO qui sonne bien Quelques très belles images, lumineuses et définie Deux commentaires audio Points faibles Master vidéo HD qui aurait mérité une travail plus récent ! Bonus peu nombreux, et déjà vus Piste VF assez moyenne techniquement Aucun effort de la part de la Fox sur cette édition HD Conclusion Note globale Comment fonctionne la notation ? Un film tel que Edward aux mains d'argent méritait mieux que le peu de soin apporté à son édition Blu-ray master non retapé pour l'occasion, des bonus peu recherchés, un VF en DTS mi débit, aucune interactivité particulière, et surtout, désormais, l'attente d'une véritable réédition HD avec restauration totale ! Sous-Notes Image Son Interface Bonus
Accueil TV & Son TV & Vidéoprojecteurs Lecteur Blu-ray Testé le 16/12/09 Edward aux mains d'argent Blu-ray au meilleur prix Résumé du test Edward aux mains d'argent Blu-ray Historique de la notation Note précédente Note de la rédaction Extrait du testUn film tel que Edward aux mains d'argent méritait mieux que le peu de soin apporté à son édition Blu-ray master non retapé pour l'occasion, des bonus peu recherchés, un VF en DTS mi débit, aucune interactivité particulière, et surtout, désormais, l'attente d'une véritable réédition HD avec restauration totale ! Fiche technique / caractéristiques Disponibilité DVD/Blu-ray Disc Oui / Oui Genre Fantastique Réalisateur Tim Burton BeetleJuice, Les noces funèbres Acteurs Johnny Deep, Winona Ryder Format Pistes audio VF en DTS mi-débit, 768 KbpsVO en DTS-HD Master Audio en Date de sortie 1991-04-10 Date de mise en vente 2008-01-04 3D Non Meilleurs prix Produits alternatifs Publications qui peuvent vous intéresser
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